Aurélien Simon, alumni du Wagon : Pourquoi un entrepreneur a choisi d’apprendre le développement web

Dans l’univers de la tech, acquérir régulièrement de nouvelles compétences est une nécessité pour rester à la page. Mais pour Aurélien Simon, cofondateur et directeur général de Dillan, une société de financement pour retraités, le bootcamp à temps partiel du Wagon a représenté bien plus qu’un simple outil professionnel : il lui a permis de mieux comprendre les rouages techniques de son entreprise et de renforcer sa capacité à innover

De la curiosité à l’action

Aurélien n’est pas un développeur professionnel, et il ne prétend pas l’être. Lorsqu’il décide de rejoindre le bootcamp de Développement Web à temps partiel, son objectif n’est pas de changer de carrière, mais d’élargir ses horizons. « J’ai toujours été attiré par la tech, mais mes connaissances étaient superficielles. Je voulais comprendre cet univers et être mieux équipé pour dialoguer avec des développeurs. »

Avec une formation d’ingénieur et une carrière dans le conseil et le marketing avant de lancer Dillan, Aurélien avait déjà exploré des solutions low-code pour structurer son entreprise. Pourtant, il lui manquait une maîtrise suffisante pour aller au-delà des outils préconçus.

« Je tombais sur GitHub, et pour moi, c’était complètement obscur. Je tombais sur des explications sur Stack Overflow, et je n’y comprenais rien du tout. Ça me paraissait être un océan. Et je me suis dit: « Comment faire pour découvrir cet océan ? ». Donc c’est là que je suis tombé, assez rapidement en fait, sur Le Wagon.»

Un format adapté aux entrepreneurs

Ce qui a convaincu Aurélien de choisir le Wagon ? La flexibilité du format à temps partiel : deux soirées par semaine et le samedi, permettant de concilier apprentissage intensif, travail et vie personnelle. « Le format était parfait pour des gens comme moi, avec un projet pro et une vie de famille. J’ai pu continuer à développer Dillan tout en m’investissant pleinement dans cette expérience. »

Grâce à une pédagogie immersive et structurée, chaque session alliait théorie et pratique, soutenue par des exercices variés et des projets collaboratifs. Pour Aurélien, le système de « buddies » (binômes d’apprentissage) et les interactions hebdomadaires en présentiel étaient particulièrement précieux : « Expliquer à quelqu’un d’autre ce que l’on a compris est l’un des meilleurs moyens d’apprendre. J’ai aussi été bluffé par la qualité pédagogique de la formation, qui fait qu’avec un niveau de départ assez hétérogène entre les gens dans le bootcamp, chacun y trouve son compte, chacun peut progresser.»

Le planning du bootcamp à temps partiel

Des résultats concrets pour son entreprise

L’impact du bootcamp ne s’est pas fait attendre. Bien que Dillan fonctionne principalement en low-code, Aurélien a développé des outils qui optimisent la gestion interne de l’entreprise : un système de pricing pour les commerciaux, une carte interactive pour vérifier l’éligibilité géographique des clients, et des automatisations entre leur CRM et d’autres outils.

« Aujourd’hui, je sais comment brancher une API, où chercher des exemples de code, comprendre des vidéos d’autres personnes qui l’ont déjà fait. C’est ça qui est hyper précieux. Et je pense que c’est vraiment l’enseignement principal que j’en retire : je ne suis plus complètement hors-sol par rapport au sujet du dev. Je suis capable de comprendre ce que font les gens. Et si je veux monter en compétence sur un point particulier, je sais où chercher.»

Un conseil pour les futurs apprenants

Pour ceux qui envisagent un bootcamp à temps partiel, Aurélien insiste sur l’importance de la discipline et de la motivation : « Il faut être prêt à y consacrer du temps et de l’énergie, surtout après une journée de travail. C’est dense, mais tellement enrichissant. »

Vers l’avenir

Aujourd’hui, Aurélien reste concentré sur le développement de Dillan. Même si la formation n’a pas directement transformé sa carrière, elle a renforcé sa confiance en sa capacité à naviguer dans l’écosystème tech. « Si un jour je dois recruter une équipe de développeurs, je serai beaucoup plus serein. »


Le parcours d’Aurélien illustre parfaitement comment un bootcamp peut répondre à des besoins variés, qu’il s’agisse de reconversion ou, comme dans son cas, d’une quête de savoir pour soutenir une vision entrepreneuriale. Pour ceux qui hésitent encore, son message est clair : il n’est jamais trop tard pour apprendre.

Pour en savoir plus sur Dillan, l’entreprise d’Aurélien, visitez son site web.

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